Cette histoire nous a été envoyée par un homme qui a commis l’imprudence de se rapprocher un peu trop près de sa servante. Les résultats ont été catastrophiques. Lisez plutôt !
« C’est une situation difficile à expliquer que je traverse depuis quelque temps. Et cela devient insupportable pour moi.
Je signale que j’ai deux enfants. Deux gosses que j’ai eus avec Rachelle, ma femme.
Rachelle et moi, nous nous sommes rencontrés quelques temps après que j’ai eu mon premier boulot. Elle a été d’un grand soutien pour moi. C’est tout cela, ajouté à sa sincérité, son honnêteté, qui m’a motivé à l’épouser. Elle m’aimait vraiment et je le voyais à sa façon de s’occuper de moi. Et puis, elle savait tenir la maison avec grand soin. Pour moi donc, il n’y avait pas de doute, c’était elle la femme de ma vie.
Quand nous nous sommes mariés, tout allait bien. C’est d’ailleurs après le mariage que nous avons eu notre deuxième enfant. Le premier avait déjà 5 ans.
A la fin de son congé de maternité, au moment où elle devait reprendre le boulot, Rachelle m’a proposé d’engager une servante pour s’occuper des petits. Car l’aîné était déjà au CP1.
J’ai accepté l’idée et voilà comment j’ai engagé notre première servante. Mais je l’ai renvoyée peu de temps, après que j’aie su qu’elle invitait ses amies à la maison en notre absence. C’est notre voisine de palier qui m’avait informé du tintamarre qui se produisait dans ma maison à chaque fois qu’elle était seule avec ses copines.
Par la suite, la nouvelle fille que j’ai engagée me semblait à peu près correcte, dès l’instant où elle était polie et respectait les consignes que ma femme lui laissait. Mais quelque temps après avoir commencé le travail, ses parents ont décidé qu’elle arrête. Car ils voulaient l’inscrire dans un salon de coiffure, puisqu’ils voulaient qu’elle apprenne au moins un métier. Il fallait donc trouver une autre fille pour la remplacer. Cette fois, j’ai dû contacter une agence de placement de filles de maison.
A force de chercher des filles de ménage tout le temps, j’ai fini par trouver cela compliqué. Et en réfléchissant, j’ai trouvé une idée que j’ai exposée à ma femme. Au lieu de nous fatiguer, on pourrait faire venir une jeune fille du village, puisque là-bas, il y en a plusieurs qui ne vont pas à l’école. J’avais même des cousines dans ce cas. Donc, pour moi, si nous faisions venir l’une de ces filles, cela réglerait le problème une fois pour toute.
C’est vrai qu’au départ, il faudrait lui apprendre beaucoup de choses, mais avec le temps, elle finirait par s’adapter. En plus, on n’aurait pas à payer ses services comme une servante, puisqu’elle serait considérée comme membre de la famille. Rachelle a trouvé l’idée intéressante. Puis, j’ai aussitôt appelé ma grande sœur au village pour lui demander de me trouver une fille bien éduquée.
Un jour, ma sœur est arrivée avec la fille : Sali. C’était une petite fille naïve d’environ 13 ans. Je l’avais même trouvée trop jeune. Mais je me suis abstenu de faire cette remarque au risque de froisser ma grande sœur. Pendant les premiers mois de son intégration, il a fallu tout apprendre à la petite fille : comment laver et ranger la vaisselle, le linge, ne pas confondre les savons de lessive et les autres détergents, etc. En revanche, le linge, particulièrement mes vêtements et ceux de ma femme, étaient envoyés au pressing, chaque week-end.
En général, comme je finissais le travail tôt les soirs, je rentrais à la maison pour assister la jeune fille. Comme je l’avais prévu, en tout cas, je ne lui reprochais rien dès les premiers mois. Petit à petit, la petite Sali s’est intégrée. Elle arrivait désormais à faire certaines courses sans l’aide de personne. Mais pour moi, elle restait toujours une gamine. C’est-à-dire, qu’elle ne connaissait pas grand’chose de la vie. Au bout de quatre ans environ, elle était presque devenue une jeune femme, avec des rondeurs, des seins… Et surtout, elle devenait vachement belle.
« Je ne sais pas si elle-même s’en était rendu compte, mais sa poitrine était entièrement découverte. J’ai vu ses seins magnifiques»
Un soir, comme je regardais la télé, j’ai entendu des pleurs dans la chambre. C’était le dernier des enfants qui pleurait. J’avais horreur de cela. Alors, je me suis précipité dans la chambre pour savoir ce qui se passait. Comme je m’apprêtais à lui crier dessus, Sali m’a expliqué qu’il avait commencé à pleurnicher dès qu’elle lui avait demandé de l’attendre afin qu’elle prenne sa douche. Elle n’avait même pas eu le temps de bien nouer son pagne autour de la taille.
Je ne sais pas si elle-même s’en était rendu compte, mais sa poitrine était entièrement découverte. Ce qui m’a laissé le temps de voir ses seins magnifiques. Ils étaient bien fermes. Ça m’a un peu troublé, mais j’ai gardé mon calme, puis je suis ressorti. Mais de temps en temps, cette image me revenait à l’esprit. Voilà comment je me suis retrouvé souvent en train de fantasmer sur cette petite. Pire, il m’est arrivé, à plusieurs reprises, de l’épier dans la douche pendant qu’elle se lavait. Ses rondeurs m’attiraient irrésistiblement. Mais en même temps, j’avais honte de mon comportement et de ce que je ressentais pour cette fille que j’avais pratiquement vue grandir.
Au début, sans qu’elle ne soupçonne, je la taquinais en disant qu’elle était devenue une grande dame. Elle ignorait qu’elle m’excitait. Je me faisais de plus en plus complice, me rapprochant d’avantage d’elle. D’ailleurs, depuis un moment, je n’hésitais pas à lui donner de l’argent. Si bien que j’avais commencé à avoir peur que ma femme fasse la remarque un jour. Je venais très souvent dans sa chambre sous prétexte de jouer avec les enfants. Elle partageait la pièce avec eux.
Un jour, je me suis introduit, comme d’habitude, dans la chambre. En jouant avec elle, je n’ai pas hésité un moment à poser ma main sur sa poitrine. Elle avait peur. Mais, tout en continuant, je lui ai dit que j’avais une belle surprise à lui faire et que je ne lui voulais aucun mal. Alors, je l’ai persuadée de se laisser faire. D’ailleurs, moi-même, je ne savais plus ce qui m’arrivait, ni ce que je faisais. J’étais simplement hypnotisé par cette fille. Après le premier jour, je n’ai plus arrêté de coucher avec Sali qui était devenue ma drogue.
Mais, quelques mois plus tard, Sali est devenue bizarre. Elle présentait des signes de fatigue. Ma femme m’a dit qu’elle avait tous les symptômes d’une femme enceinte. J’ai eu froid dans le dos. Je priais Dieu pour que mon épouse ne découvre pas le pot-aux-roses. Car, il n’y avait pas de doute, Sali était effectivement enceinte. Quand je lui ai posé la question un jour en l’absence de ma femme, elle m’a expliqué qu’elle-même ignorait qu’elle l’était. J’étais bien embêté. La première idée qui m’est venue à l’esprit a été de la faire avorter. Cependant, comme la grossesse était très avancée, aucun médecin n’a voulu prendre le risque de le faire. J’étais coincé.
Alors, je me suis arrangé avec Sali. Si ma femme l’interrogeait, elle devait dire qu’elle avait contracté cette grossesse avec un jeune, dehors. En retour, j’allais me montrer clément avec elle en prenant en charge toutes les dépenses. Et c’est ce qui a été fait. Au terme du 9ème mois, un soir, Sali a commencé à ressentir les premières contractions. Je l’ai conduit immédiatement à l’hôpital, en compagnie de ma femme. Le travail a duré toute la nuit. C’est seulement le matin, vers 7 heures, que l’enfant est venu au monde. Il était bien portant. Sauf la mère. Sali est décédée en couches. Je ne savais pas si je devais pleurer ou rire. Mais je savais que tout cela était de ma faute.
Et depuis, je suis perturbé par cette affaire. Pendant et après les obsèques, la mort de cette jeune fille me tourmente l’esprit jusqu’à aujourd’hui. Je n’ai jamais eu le courage de dire la vérité à ma femme. Je ne sais pas qu’elle sera sa réaction. Je préfère qu’elle ne le sache jamais. Les papiers de l’enfant porte naturellement mon nom. J’ai expliqué à ma femme que je ne souhaitais pas que cet enfant soit né de père inconnu. Pour cela, j’ai promis de m’occuper personnellement de lui. Au point où quelques fois, ma femme me dit qu’elle a l’impression que je lui donne trop d’amour par rapport aux autres.»
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